Recettes

3 catégories pour ne pas mélanger les recettes culinaires avec les purins de jardin et les transformations d’herboristerie:

Recettes culinaires
Transformations d’herboristerie
Recettes de jardin

Recettes culinaires

Vous cherchez des inspirations pour mettre en valeur les plantes que vous cultivez dans vos assiettes? Voici les recettes originales tisane et jardin! Pour plus d’inspiration, nous vous invitons à regarder la section Utilisation de nos fiches plantes.

meilleure recette de tomates séchées préparées

La meilleure recette de tomates séchées préparées

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fines herbes
sorbet angélique et rhubarbe

Recette de sorbet angélique, rhubarbe et citron

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Transformations d’herboristerie

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Que peut-on faire avec des plantes fraîches

Bain d'oeil et collyre

Créer son sirop sur mesure

Le sirop, une transformation relativement rapide, qui rend facile de prendre plusieurs petites doses. Avec cet article, apprenez à créer votre sirop selon vos besoins et à partir des plantes dont vous disposez.

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infusion de plantes
Concentré liquide en macération
séchage

Que peut-on faire avec nos transformations primaires

Choisir ses plantes et créer la base d'une formule thérapeutique sur mesure

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Crème ultra-hydratante et protectrice pour l’hiver

Que ce soit pour nous protéger la peau pendant les randonnées hivernales, ou simplement parce qu’avec le chauffage l’hiver la peau est toujours plus sèche… en hiver, j’aime bien avoir une crème profondément hydratante et même un peu grasse. Je partage avec vous cette recette de mon cru à la texture très agréable qui pénètre,…

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vieille bouteille de liniment
créer son onguent à partir de macération huileuse

Ce ne sont pas des plantes, mais… ils sont utiles aux transformations et préparations d’herboristes

Flacon de glycérine ancien

La glycérine, un solvant étonnant

Elle goûte le sucre mais ne contient pas de glucose (et est donc adaptée aux diabétiques). Par sa forme chimique, elle s’apparente à l’alcool mais peut être utilisée dans les préparations pour les enfants. La glycérine est unique et est utile pour faire des glycérés, des sirops et de nombreux produits cosmétiques.

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Le miel utilisé en herboristerie

Miel, un solvant noble, agent de conservation et super aliment

Issu du nectar des fleurs qui offrent le meilleur d’elles-mêmes dans l’espoir d’être fécondé, transporté et transformé par les bons soins des abeilles, le miel est un merveilleux cadeau de la nature. Solvant noble par excellence, le miel se conserve indéfiniment et possède de nombreuses vertus.

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Recettes au jardin

Voici nos recettes de jardin, classées par ordre alphabétique des problématiques sur lesquelles la recette agit. Nous vous préparons bientôt des fiches complètes sur les problématiques des cultures. Celles-ci vous permettront de bien identifier les problématiques, comprendre les mécanismes qui les favorisent ou au contraire, les contrôlent. En attendant, nous avons ajouté une petite description de la problématique pour vous aider à vous retrouver.

Acarien
Tetranychus urticae
Crédit photo: Rasbak

Certains acariens très communs, tels que Tetranychus urticae (tétranyque tisserand) et Tetranychus turkestani s’attaquent à de nombreuses catégories de plantes cultivées.
Ils se développent sur les organes végétaux herbacés, souvent à la face inférieure des feuilles, le long des nervures.#ref:216#
Ces acariens sont très féconds ; la femelle pond de 2 à 10 œufs par jour selon les espèces. À 30 °C, l’incubation se fait en quatre jours, contre 22 jours à 15 °C, et les nouvelles générations sont capables de pondre de 3 à 10 jours seulement après leur éclosion.#ref:63#
Leurs piqûres provoquent des décolorations ou des réactions colorées des organes atteints en nuisant à leur développement et à leur bon fonctionnement.
Ils tissent parfois d’abondantes toiles sur la plante.
Les tétranyques tisserands passent l’hiver à l’état de femelles, rassemblées et abritées sous les écorces, écailles de bourgeons et adventices, ainsi que dans les structures des serres.#ref:216#

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Purin de tanaisie

Cette recette, utilisée comme répulsif pour nombre d’insectes nuisibles, se conserve plus longtemps que la décoction.

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Alternariose
Altérnaria
Crédit photo: Jerzy Opioła

L’alternariose, également appelée brûlure alternarienne, regroupe plusieurs maladies fongiques causées par divers champignons des genres Alternaria ou Ulocladium.
Cette maladie se développe principalement en présence de rosée en plein champ ou de gouttes d’eau provoquées par la condensation, par exemple sous tunnel plastique. Le champignon peut se conserver dans le sol et sous les débris végétaux. Les semences peuvent également transmettre la maladie.

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Aleurode
Gros plan sur une minuscule aleurode
Crédit photo: gbohne

L’aleurode est un petit moucheron blanc, de 1 à 3mm qui s’envole facilement quand on passe à coté.
On en compte près de 1 200 espèces.
Ces insectes ont une grande variété d’hôtes végétaux et peuvent attaquer des centaines d’espèces cultivées ou non, que ce soit en plein champ dans les régions chaudes ou dans les serres dans les régions plus froides.

Ils causent des dommages importants, notamment de plantes potagères, tant par les dégâts directs qu’ils provoquent en se nourrissant sur les plantes (piquant généralement les feuilles), qu’en transmettant des maladies virales.
Les aleurodes sont les vecteurs de plus d’une centaine d’espèces de virus phytopathogènes.

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Purin de tanaisie

Cette recette, utilisée comme répulsif pour nombre d’insectes nuisibles, se conserve plus longtemps que la décoction.

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Altise sur chou
Altise sur chou Crédit photoL FarceRéjeane

Les altises ont des pattes arrière très développées et sautent lorsqu’elles sont dérangées, ce qui leur vaut leur surnom de « puces de jardin » ou « puces de terre ». Leur nom vient du grec haltikos, signifiant « habile à sauter ». Les altises ont une taille de 2 à 5 mm et sont de couleur foncée et lustrée. La longueur des antennes varie de la moitié aux deux tiers de la longueur du corps selon les espèces.

Au potager, les altises sont souvent présentes sur les brassicacées telles que le chou, le radis, le navet, la roquette, et le cresson. Certaines espèces d’altises attaquent également d’autres plantes telles que l’artichaut, la pomme de terre, l’aubergine, la tomate, la betterave, la blette ou la vigne.

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Purin de tanaisie

Cette recette, utilisée comme répulsif pour nombre d’insectes nuisibles, se conserve plus longtemps que la décoction.

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Anthracnose
Crédit photo: Clemson University

L’anthracnose est le nom générique d’une série de maladies cryptogamiques causées par diverses espèces de champignons ascomycètes phytopathogènes appartenant à différents genres (Apiognomonia, Colletotrichum, Discula, Gloeosporium, Glomerella, Gnomonia, Pseudopeziza, etc.) affectant de nombreuses espèces de plantes cultivées : des arbres et arbustes fruitiers (cerisier, chêne, framboisier, groseillier, vigne, manguier, avocatier), des plantes potagères (maïs, fraisier, haricot, pois, tomate…) ainsi que des arbres et arbustes d’ornement (rosier).#ref:63#
Le terme « anthracnose » est apparu en français en 1879 pour désigner une maladie découverte sur la vigne, appelée aussi « charbon » ou « rouille noire ». Le mot est composé de deux radicaux grecs, anthrax (ανθραξ) (sens médical : agglomération de plusieurs furoncles à tendance nécrosante) et nosos (νοσος) « maladie, fléau ».#ref:63#
Sur les fruits apparaissent des taches rondes et brunes de dessèchement qui peuvent être auréolées de rouge-mauve. L’anthracnose, qui affaiblit la plante en diminuant son capital feuillu, est nuisible à la production fruitière, mais ne menace pas directement la vie de la plante. L’affaiblissement peut permettre l’infestation par des maladies plus graves.#ref:63#

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Botrytis
Botrytis cinerea
Crédits photo: Rasbak

Le botrytis, également connu sous le nom de pourriture grise, est une maladie cryptogamique causée par le champignon Botrytis cinerea. Bien qu’elle puisse être bénéfique dans certains cas, comme sur les vignes pour produire des raisins liquoreux, elle est surtout redoutée par les jardiniers, les horticulteurs, les maraîchers et les vignerons.

Botrytis cinerea peut se développer sur des tissus végétaux morts ou vivants et affecte un grand nombre de plantes cultivées, y compris la tomate, la fraise, le pois, le haricot, ainsi que certains arbustes et plantes d’ornement tels que les rosiers, les pivoines, les dahlias, les chrysanthèmes, les œillets et les lis. Les parties affectées de la plante peuvent être les feuilles, les boutons, les fleurs, les fruits, les racines et même la plante entière si elle est herbacée.

Les symptômes du botrytis incluent des taches brunes qui se couvrent rapidement d’un feutrage gris, suivies d’une pourriture et d’un séchage de l’organe. Les fleurs flétrissent ou avortent et les fruits deviennent rapidement impropres à la consommation en raison d’une pourriture molle.

Le botrytis est très contagieux et il est important de retirer les plants ou les organes malades dès que possible pour éviter la propagation. Il convient d’être prudent lors de la manipulation des organes couverts de feutrage gris car il s’agit des spores microscopiques qui se répandent facilement dans l’air. Il est également important d’éviter les éclaboussures causées par la pluie ou l’arrosage.

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Purin de prêle

Le purin de prêle, seul ou en association avec le jus de consoude, le purin d’ortie ou de fougères stimule la croissance et la résistance contre les maladies fongiques

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manque de potassium Crédit photo: Alandmanson

Les signes d’une carence en potassium se remarquent en premier sur les feuilles les plus vieilles. Selon les espèces, celles-ci peuvent s’enrouler, la marge (périmètre autour, mais particulièrement sur la pointe) et le tissu entre les nervures peuvent se bomber ou se couvrir de picots bruns. Les signes d’un manque de potasse apparaissent généralement lors de la floraison, car c’est à ce moment que la plante monopolise son potassium (en priorisant les vieilles feuilles) pour produire les fleurs.

Purin de consoude

Essayez cette recette simple de purin de consoude: il donne de bons apports en potassium, ce qui favorise la floraison et la mise à fruits.

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Helix aspersa par Dott Bartolomeo Gorgoglione
Helix aspersa
Crédit photo: Dott Bartolomeo Gorgoglione

Le mot escargot désigne cette famille de mollusques terrestres, gastéropodes à coquille qui, malgré sa placide lenteur, cause du souci à de nombreux jardiniers.

En guise de langue, les escargots, comme les limaces, possèdent une « radula » avec 1 500 à 2 500 dents, semblable à une râpe de menuisier. Leur alimentation varie selon les espèces : certains sont phytophages, détritivores, nécrophages ou prédateurs.

Les escargots jouent un rôle clé dans les réseaux trophiques en tant que proies pour divers prédateurs tels que les mammifères, les oiseaux et les insectes. Certains oiseaux, comme le milan des marais, se nourrissent principalement de gros escargots aquatiques. Ils interagissent ainsi avec une grande variété d’espèces dans leur écosystème.

Au Québec, on trouve principalement 3 escargots de grande taille: l’escargot jaune (Neohelix albolabris); l’escargot rayé des jardins (Cepaea hortensis) et l’escargot des bois (Cepaea nemorailis). Ils sont comestibles (quoique moins recherchés que les escargots de type Helix) et sont principalement des décomposeurs. S’ils ont le choix, ils préféreront les feuilles jaunes ou même en décomposition aux belles feuilles vertes. Au Québec, les escargots sont donc plutôt considérés comme des alliés du jardin que des nuisibles.

Fonte des semis
Crédit photo: INAKAvillage211

La fonte des semis est une maladie fongique (ou maladie cryptogamique, due à des champignons pathogènes) qui touche les plantules, juste avant, ou quelques jours après leur levée. Les racines et le collet sont affectés, entraînant la mort des jeunes pousses. Le terme «fonte des semis» désigne un même problème provoqué par différentes maladies cryptogamiques comme : Pythium, Phytophthora, Botrytis, Rhizoctonia, Fusarium, Sclérotinia…
Sur votre planche de culture, cela se traduit concrètement par un rang clairsemé, où peu de graines ont germé, ou par le brunissement et le pourrissement de la base puis de la totalité des toutes jeunes plantules. La fonte des semis se déclare d’abord localement, puis peut s’étendre à l’ensemble de la planche semée.
Les plantes susceptibles d’être touchées par la fonte des semis sont nombreuses : aubergine, carotte, choux, concombre, courge, haricot, oignon, salades (laitues, romaines, mâche,…), tomate… mais aussi bégonia, datura, lobelia, pavot, pétunia…#ref:222#

Purin de prêle

Le purin de prêle, seul ou en association avec le jus de consoude, le purin d’ortie ou de fougères stimule la croissance et la résistance contre les maladies fongiques

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Limace rouge (Arion rufus)
Limace rouge (Arion rufus)
Crédit photo: Guillaume Brocker

Les limaces peuvent mesurer de 1 à 30 cm et peser de 1 à 40 g. Les limaces ont quatre tentacules, dont deux qui servent d’yeux et les deux autres qui sont utilisés pour capter les odeurs et les goûts. Elles peuvent se nourrir de plantes (phytophages) ou d’autres animaux (carnivores).
Le cycle de vie des limaces, leur densité de population, leur reproduction et leur croissance sont conditionnés par les conditions climatiques, la lumière et la nourriture disponible. Les hivers doux favorisent le taux de survie des œufs et des jeunes limaces, et leur développement. Les hivers secs et froids peuvent induire une diminution des populations vivant sur une parcelle.
Les limaces jouent un rôle important dans l’écosystème en contrôlant la végétation et en recyclant les déchets organiques. Elles constituent également une source de nourriture pour de nombreuses espèces, notamment les oiseaux et les hérissons.
Cependant, les limaces sont souvent considérées comme des nuisibles par les agriculteurs et les jardiniers, qui ont recours à des pesticides spécialisés pour les éliminer. Malheureusement, ces pesticides se sont avérés polluants et toxiques pour de nombreuses autres espèces. Les méthodes alternatives sans produits toxiques sont peu compatibles avec l’agriculture intensive, ce qui a conduit à la disparition de nombreux invertébrés, y compris les limaces, victimes de l’utilisation de ces pesticides.#ref:63#

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Purin de tanaisie

Cette recette, utilisée comme répulsif pour nombre d’insectes nuisibles, se conserve plus longtemps que la décoction.

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Mildiou sur feuille de vigne (face arrière)
Crédit photo: Rude

Le mildiou est le nom générique d’une série de maladies cryptogamiques affectant de nombreuses espèces de plantes, mais prenant des proportions épidémiques dans certaines cultures de grande importance économique, telles que la vigne, la tomate, la pomme de terre, la laitue ou les courges.
Le terme « mildiou » résulte de la francisation phonétique de l’anglais mildew proprement « rosée de miel », issu du vieil anglais mildēaw, meledēaw « miellat, mildiou ».
Ces maladies se manifestent par des taches brunes ou une apparence de moisissures blanches et cotonneuses, suivies d’un flétrissement général de la feuille, d’un rameau ou de toute la plante.
Des mildiou résistants aux (fongicides semblent semblent de plus en plus fréquents dans dans les vignobles, notamment en France, ce qui a suscité un certain nombre de recommandations officielles. Le phénomène est constaté dans le monde entier, jusqu’en Australie,où il semble s’être récemment étendu ainsi qu’aux États-Unis où la diversité des souches de mildiou est plus élevée ou encore au Canada.#ref:63#

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Purin de prêle

Le purin de prêle, seul ou en association avec le jus de consoude, le purin d’ortie ou de fougères stimule la croissance et la résistance contre les maladies fongiques

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Puceron
Aphidoidea
Crédit photo: Pixabay

Les pucerons sont de petits insectes suceurs de sève qui représentent la superfamille des Aphidoidea, de l’ordre des Hémiptères.
En plus d’affaiblir la plante en aspirant sa sève, ils agissent comme vecteurs de virus végétaux et défigurent les plantes ornementales en y déposant du miellat et par la croissance ultérieure de fumagine.
En raison de leur capacité à augmenter rapidement leur nombre par reproduction asexuée et développement télescopique, ils constituent un groupe d’organismes très performant d’un point de vue écologique.
Sources: #ref:63#,#ref:216#,#ref:217#

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Colonie de pucerons lanigères
Colonie de pucerons lanigères
Crédit photo: vastateparksstaff

Les adultes sont de couleur marron et mesurent environ 2 mm de long. Ils sont recouverts d’un abondant amas cotonneux blanc#ref:63#.

En Amérique du Nord, son pays d’origine, ce puceron possède une phase sexuée sur son hôte primaire, l’orme d’Amérique (Ulmus americana). On le trouve aussi sur les rosacées ligneuses telles que l’aubépine, le sorbier et le cotonéaster.
Au Québec, il fait rarement de graves dégâts sur les pommiers, sauf sur les jeunes arbres.
En Europe, il se reproduit uniquement par parthénogenèse sur le pommier, d’où son nom de puceron lanigère du pommier. On l’observe également sur le cognassier, et très rarement sur le poirier#ref:63#.

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vitalité des plantes

Une plante en bonne santé est moins susceptible d’attirer les nuisibles et va mieux résister aux maladies.

Purin de consoude

Essayez cette recette simple de purin de consoude: il donne de bons apports en potassium, ce qui favorise la floraison et la mise à fruits.

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Rouille sur rosier
Crédits photo: Jerzy OpiołaJerzy Opioła

Les rouilles sont des maladies cryptogamiques des plantes causées par des champignons phytopathogènes. Les symptômes de la maladie apparaissent sous forme de taches ou de pustules sur les feuilles.
Les champignons de la rouille se développent sur différents types de plantes, y compris les conifères, les légumes tels que le haricot et la pomme de terre, les plantes ornementales comme le rosier, le fuchsia et la jacinthe, ainsi que les céréales comme le blé et l’orge.

Les rouilles peuvent affaiblir les plantes en endommageant leurs feuilles, réduisant leur fonction photosynthétique et entraînant une diminution de la production de fleurs et de fruits. Cependant, dans la plupart des cas, la survie de la plante n’est pas menacée par la maladie. Les rouilles sont surtout visibles en été et en automne dans leur stade télie (spore), ce qui facilite leur identification. Bien que la rouille soit une maladie gênante, elle est rarement dangereuse pour les plantes.

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Purin de tanaisie

Cette recette, utilisée comme répulsif pour nombre d’insectes nuisibles, se conserve plus longtemps que la décoction.

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